Pour Nous Soutenir.
La vie est un long fleuve tranquille.
Ou pas.
La
vie sportive de notre club, certainement pas ; du moins pour
l’instant.
La faute au réchauffement climatique ! Quand
le ciel débloque… gare à ceux qui sont en dessous !
Notre Ousse n’est pas un fleuve, pour aussi tranquille soit-elle !
Elle ne fait que caresser les cailloux arrachés à la montagne.
Comme un gage de permanence et d’intemporalité.
Laissons la météo.
D’où vient cette petite lumière qui se reflète sur les Pyrénées ?
Elle a toujours brillé d’un éclat sans pareil dans le monde où elle avait été créée. Quel est le vent mauvais qui la fait ainsi vaciller sous nos yeux dubitatifs ?
Serait-ce l’effet « papillon » !
Vous savez le courant d’air des portes de coffres forts que ces messieurs haut placés ouvrent et ferment, à leur bon vouloir, pour donner le rythme de vie de nos clubs sportifs.
Oui, parce que, là, mine de rien, on parle de sport !
Et il se trouve que nous sommes en plein courant d’air.
Et la petite lumière vacille de plus en plus.
La laisserons-nous s’éteindre ? Même perdre de son éclat ne paraît pas concevable, parce qu’elle porte en elle toute la force d’un pays.
Fleuve tranquille.
Peut-on croire à l’hypothétique légende de ce lointain fleuve qui charriait de l’or ?
Mais l’or, c’est périssable ! Et méprisable quand il ne profite qu’aux mêmes !
Nous, nous croyons bien à cette flamme qui éclaire toute une région et lui donne vie. Elle se reflète dans la majesté de nos Pyrénées. Peut-être un peu trop : c’est certainement cela qui gêne la vue de certains.
Vous vous souvenez de la fameuse phrase historique : « Il n’y a a plus de Pyrénées ! ». Continuez à vouloir arracher cette lumière et c’est toute la montagne qui va suivre.
Vous vous sentez de le faire ?
Nous, nous sentons de force à continuer.
Parce que il y a plus de 75 ans que cela est notre quotidien.
Et que nous sommes en mesure de le prolonger.
Pas comme vous qui souffrez de l'arthrose du cerveau et du cœur.